VacheKiri
Langue pendue
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Date d'inscription : 05/09/2005
 | | Sujet: Radio 34 Jeu 29 Sep à 21:57 | |
| - Citation :
- | Une affaire à repetition
message de: Nalhyaah Camérya
(pour toute votre comm)
27/09/2005
[Suite de notre fameux feuilleton]
Le kamarade chargé à l'information et aux depeches de la radio populaire vient au bureau de l'administratrice
"- kamarade Nalhyaah, veuillez pardonner mon arraivé si prompt au sein de votre bureau, mais je dois vous faire le rapport de nos unité de surveillance."
elle releva la tête
"-Je vous ecoute, kamarade, quelles est la situation actuielle de nos patrouilles et des interceptions de la région. ?"
"- la kamarade Onyura , suite à votre demande va emetrel'appalication du formulaire 65-4 à l'encontre du suspect nommé Booza
Le kamarade Maedhros un frisson est en train de comment dire s'amuser avec sa nouvelle proie, Nous avons preferé ne pas le derangé dans ses activités....
Le kamarade Klint se trouve en inspection dans la zone eyt n'a decoçuvert rien de particulier.
Et enfin le kamarade Ringo se trouve à l'est de notre position, et il affirme avoir interception un individu succeptible de nous causer des torts et préjudices"
-"- Cela est bien kamarade, pourreiez me dire le nom dfe cet individu, je vous prie"
L'Homme prit son rapport et lu ce que le kamarade Ringo lui avait fait parvenir
"- l'individu repond au nom de Vic, kamarade Nalhyaah dit il avec un large sourrire"- QAue dois je lui faire parvenir concernant ce personnage ?
La dame du Sable n'ecoutait plus et prit sa tête dans ces deux mains
"- Aie, aie, aie, les supers  ... "
"- kamarade ?"
"- Oui" repondit il avec fierté d'avoir donner une reponse capitale
"- placez vous dos au murs je vous prie"
L'homme s'excecuta, pensant, que la dame voulait voir ce qui se passer derriére la porte
Nalhyaah ouvrit le tiroir de son tiroir et decocha un scalpel qui vola à travers la piéce et alla se planter dans la quadriceps de l'Homme qui cria de surprise et de douleur.
Il decouvrit avec horreur que la femme qui se tenait devant lui tenait dans sa main d'autres ustensiles chriugicale et dans sa main droite une seringue de tranquilisant
"- C'est votre bien , kamarade, je dois me calmer, vous m'en remercierez." Finit elle avec un regard noire en s'approchant de l'homme qui commencait à perdre ses moyens et salir son pantalon de ces sels
On entendit un peu plus tard de longs cris d'agonies qui durérent des heures et retentirent dans les environs de la cité blanche | |
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